La sexualité est un sujet, à la fois, très présent dans notre société que ce soit dans les médias, les blagues, les soirées entre amis... mais aussi, l’un des plus tabous où la mésinformation règne en maître.
Notre génération a la chance d’avoir accès à une information sur la sexualité et la contraception plus explicite que celle qu’ont connue les générations antérieures. Cependant, cette médaille a aussi un revers. Ainsi 40% des garçons citent, à ce titre, les films pornographiques.
Notre connaissance des risques des infections sexuellement transmissibles et des moyens de s’en protéger est la conséquence de la menaçante existence du virus VIH/SIDA. Mais que savons nous des autres IST ?
La liberté d’accès à la contraception et à l’IVG nous a précédé. La contraception est-elle pour autant devenue une préoccupation également partagée par les filles et les garçons ?
Cette sexothèque n’est ni un catalogue de recettes pour le 7ème ciel, ni un traité de morale à l’égard des jeunes générations. Il y est question, sans a priori, des pratiques sexuelles les plus décoiffantes, des ressorts de l’identité conditionnée ou déconditionnée, de la topographie des territoires cachés du corps, de la transmission des IST ou les différentes méthodes contraceptives...
Le but est de mettre à mal les idées reçues, promouvoir des valeurs d’égalité entre les filles et les garçons, et donner à chacun les outils indispensables à une sexualité épanouie et librement consentie.
Ateliers ouverts aux adolescents et aux adultes, le 25, 26 et 27 juillet à partir de 14h à l’Alcazar. Inscriptions obligatoires au 04.91.55.90.00.
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